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 Adrian Solheim

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AuteurMessage
Adrian Solheim
Cinquième année CourtenayAdrian SolheimCinquième année Courtenay
Messages : 54
Date d'inscription : 05/09/2011
Age : 28
Localisation : N'importe où, où une plante verte se meurent!
Adrian Solheim  Vide
MessageSujet: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeLun 5 Sep - 22:11

Carte d'Identité


    L'Essentiel :



  • Nom : Solheim

  • Prénom : Adrian Svein

  • Sexe : Féminin

  • Date de naissance : 08 /05/1996, 15 ans, donc.


    Adrian Solheim  Solhei12


  • Hybridation : Officiellement, il y a hybridation avec une Dryade, Adrian est donc demi-sang. Officiellement. Officieusement, ce perdent dans les branches noueuses de l’arbre généalogique des Solheim, sang de Vélane, de Géant, d’Harpie, d’Atlantes et de Centaures. « A nous tous, nous sommes la France ! » s’exalte l’oncle Jean. Mais ce melting-pot ethnique n’est pas vraiment au goût du jour, tant et si bien qu’au fil des ans, les ramifications les plus jeunes de la famille ont été dévastée par les Rafles, les manifestations, les pogroms.

  • Valeur du sang : Sang Mêlés, officiellement Demi-sang.



    Vous en profondeur :

    Avis au paresseux, si vous avez la flemme de tout lire, pour le physique, vous skippé directement au 3ème paragraphe, pour l'histoire, au résumé. Quant au mental, et bien! Il va falloir faire un effort!



  • Votre physique :


    " She's blonde, very blonde. She's petite, very petite. And, she's blonde. "


    Cliché : nm 1 INPRIM Idée, phrase toute faite et banale, stéréotype.

    Adrian Svein Solheim est un cliché. Des siècles et des siècles de légendes populaires, de croyances urbaines et de rumeurs. Un peu comme si on avait compressé toute la culture orientale européenne en un tout petit, mais alors vraiment tout petit, corps de jeune fille. Tout y passe, de la blondeur, en passant par les yeux bleu et la peau pâle, très pâle. Des filles comme elle, il en passe des milliers dans la rue, sans que personne ne les remarques. Et ce serait d’ailleurs, tellement simple de s’en arrêter là, de conclure tout juste : « Adrian est un cliché. »

    Mais non. Parce cette même fille, qui n’est pas censée être remarquable, et bien, si vous posez les yeux sur elle, vous allez la remarquer. Pas parce qu’elle est plus jolie qu’une autre, pas parce qu’elle est mieux roulée ou mieux habillée. Non. Juste, ou plutôt justement parce que c’est Adrian, et qu’elle est, comme toute ces filles clichés auquel elle ressemble, tellement plus qu’une définition de dictionnaire…

    Adrian, je disais donc, a les cheveux blond, un océan de boucle qui rebondissent au rythme de ses pas. Une espèce de savane indomptable qui cascade sauvagement sur ses épaules, un truc tellement profond, qu’on n’ose pas y plonger la main, de peur de ne jamais pouvoir la retirer. Cette tignasse est tellement incoiffable, que la plupart du temps, elle se résume à un gros chignon décoiffé, une tresse trop épaisse, ou à une espèce d’explosion atomique. Ses yeux, quant à eux, sont bleu, un bleu irisé, discret, rieur, comme si le monde entier n’était qu’une vaste plaisanterie. D’autant, tout son être rit, de son sourire à fossettes, en passant par son nez retroussé, jusqu’à l’expression en tout temps, moqueuse de son petit visage. En faite, avec sa petite taille, son corps frêle (et très plat, il faut le dire !) et ses jambes toutes fines, on dirait un farfadet. Oui, oui, un farfadet. C’est le même qui attend au pied de l’arc-en-ciel.

    (La Parenthèse du style : Plus haut, je vous ai un peu mentit. On remarque Adrian. Et si vous vous posez la question, oui, c’était elle, l’année dernière, le pull la catastrophe nucléaire rayé orange et rose. Que voulez-vous, n’est pas Yves Saint Laurent qui veut ! Dans son dressing, ce mélange avec un goût douteux, à peu près toute les couleurs de l’arc-en-ciel. Sa pièce fétiche étant une besace en vieux cuir jaune. Quant elle n’arbore pas l’uniforme de Beauxbâtons, Adrian mélange jupes, jeans et shorts de couleur simple (du gris, du bleu, du noir) avec des hauts de couleurs vives, et des chaussures plates, toujours (vous voyez une naine sur des plateformes shoes, vous ? Sérieusement…). Elle possède d’ailleurs une collection impressionnante de ballerine Repetto et de basquettes. Et tout cela en fibres naturelles, of course.)

  • Votre mental :

    " And in my head, it's like a paperplane's crash. Again. "

    « Attend, Attend. Un Schtroumf qui marche dans la rue, il tombe. Qu’est ce qu’il a ? UNBLEU ! »

    Non, vous n’êtes pas censés rire à cette blague. Oui, elle craint. Vraiment. Et oui, c’est d’Adrian. Certes, sous magikjuana mais il y a quand même des limites à la connerie. Connerie et Génie. C’est deux mots résument tout. J’ai une petite théorie sur le mode de fonctionnement de son cerveau. Quelque part à l’intérieur de son crâne, il y a un bouton on/off, qui s’allume et s’éteint aux moments voulues. Par exemple : *On* « Je sais pas, tu vois, la critique que fait Nietzshe sur l’art, j’trouve ca vachement profond, quand même… » *Off* « Tu vois, hier, j’ai éteins la lumière dans la salle de bain, et devine quoi. C’était noir ! ». Dans ces moments, comme pour excuser son abyssal crétinerie, elle ce fend d’un grand sourire, et rit beaucoup. Vous aussi, ne mentez pas. Et ainsi va la vie de Mlle Solheim, entre débilité profonde et éclair de lucidité.

    Vous l’aurez donc compris, Adrian est une fille solaire, mieux ; elle irradie. Parfois pour le meilleur, mais plus souvent pour le pire. Elle sera la première à vous proposez d’aller dans le parc entre deux cours, et c’est elle aussi que vous retrouverez sur les côtes bretonnes en train de milités fougueusement pour les droits des langoustes mutantes. Et puis elle bouge. Elle bouge, elle bouge tellement que parfois ca en devient fatiguant. Ce n’est qu’avec elle que que le mot « gesticuler » prend tout son sens. En faite, le seul bon point avec elle, c’est qu’elle pourra vous fournir en tout temps en magikjuana, à des prix défiants toutes concurrences. Comme elle passe le plus clair de son temps dehors, vous la retrouverez souvent enrhumer et/ou en train de faire une hypothermie. Si vous vous demandez qui est le fou qui est allé tailler l’allée d’arbuste en plein mois de janvier, et bien ne vous torturés plus. C’est encore, toujours, elle.

    Pourtant, derrière tant de joie, tant de bonheur. Il y a un gouffre. Immense, profond. Alors parfois ses sourires ce cassent, son visage s’affaisse et elle s’efface. Il y a deux sujets qu’il ne faudra jamais évoqué avec elle ; Gaspard, son oncle recherché, et l’avenir, auquel elle n’aura peut-être jamais droit, du fait de son hybridation instable. Doucement, le masque de gentillesse ce fissure. Il y a une raison pour laquelle elle à choisit Occlumancie. En elle il y a tant de peur, d’appréhensions, de douleur, que si jamais quelqu’un ce risquait à fouiller son esprit, il ressortirait à moitié aliéné. Sous ses airs naïfs, Adrian est doué pour les secrets. Mentir, cacher, camoufler, et elle met tant d’énergie et de temps dans cette entreprise, qu’elle en oublis parfois de vivre. Sa seule échappatoire à cet état, ce sont les serres de botaniques, où elle peut passer des heures à bichonner un même plan.

  • Votre histoire :

    Résumé : Savez-vous ce qui est pire que d’être hybride ? C’est d’être hybride, ET immigrée. Et oui ! Non content d’avoir le ministère de la magie sur le dos, vous avez aussi Eric Besson qui vous court après ! Ô joie ! Ô bonheur ! ! Psychologiquement, c’est assez traumatisant, d’autant qu’avec les antécédents familiaux qu’Adrian ce trimballe… A ma droite, la famille du père, Charles (A l’origine Siärl, qu’il à préféré gommer pour mieux s’intégrer) Solheim, famille de hippie par excellence, où ce mêlent gentiment à peu près toute les sorte d’hybridation réalisable, ce qu’on leur pardonnerait surement au ministère, s’ils n’étaient pas tous de bon vieux immigrés serbe, russe, croate ou norvégien. De l’autre côté, la famille de la mère, qui ce compose de… La mère, Sansa. Tout court. Les arbres n’ont pas de nom de famille, c’est déjà si rare qu’il engendre une nymphe. Et milieu de tout ca, mesdames et messieurs, nous avons Adrian, demi-sang de Dryade, quelque peu paumée.

    Donc, entre deux rangé de potiron bio et d’eau de vie de Jacynth faite maison, Adrian est une enfant tout à fait normale. En omettant le fait qu’à n’importe qu’elle moment, son instinct de Dryade peut reprendre le dessus, temporairement, ou, définitivement. Le fait qu’elle soit née à une période instable pour les hybrides l’a beaucoup désavantagée. Tant et si bien qu’afin de la cacher, la petite n’est jamais sortie de la propriété familiale jusqu’à ses onze ans, à son entrée à Beauxbâtons. Entré miraculeuse, toutefois, puisqu’il est rare de toléré des demis-sangs, considéré comme trop dangereux, dans l’enceinte d’une quelconque école. Elle doit donc énormément à Olympe Maxime, qui à défendu plusieurs dossiers de demi-sang, dont le sien, au près du Sénat.

    L’hostilité, pourtant contenus, envers les hybrides lui a outre forgé un fort esprit critique, entretenue par son oncle Gaspard, un demi-sang de Faune, criminel réfugié dans les montagnes. Les deux s’écrivent régulièrement, et l’aîné alimente très souvent ces lettres de flammes révolutionnaires et de déclaration brûlante. Sa fuite dans les Alpes et l’un des grands traumatismes de la famille, déjà pourtant bien malmenée par des siècles et des siècles de pogroms et d’exclusions.

    Ce résumé de l’histoire d’Adrian suffira amplement pour commencer un topic. Cependant, si vous avez l’espoir/l’envie/la folie (rayez les mentions inutiles) de lire les quelques( ?) extraits ci-dessous, promis, je vous soudoie à vie en Redbull ! Very Happy

    Here we go!


    Qu’est ce qui est le plus important ? Ce souvenir des belles choses, ou ce souvenir des choses dont ont à besoin ? Je ne sais pas. Je n’ai jamais su, et je n’aime pas choisir. C’est étrange comme certaine personne oublie leur enfance, comme ces bribes de souvenirs s’évapore. Un jour tu vis, le lendemain, tu vis encore, et le surlendemain, tout s’efface. Je n’arrive même pas à savoir si c’est triste ou pas. Si on fait ca pour le meilleur, ou pour le pire. Si c’est plus facile, ou plus compliqué. Tant de question, si peu de réponse.

    Mais moi je n’oublie pas. Surtout pas. Il faut que ces instants la soient gravés dans ma mémoire à tout jamais. Comment oublier ? Comment faire abstraction des fondations même de ce que je suis ? Comment me lever le matin ? Comment vivre sans eux ? Non. Ils sont précieux, trop précieux. Je sais qui je suis, je sais d’où je viens. Je sais où je vais.

    Hybridation. Le mot est lâché. Hybridation. Ce mot fait peur, ce mot change tout. Ce mot à le pouvoir de faire basculer une vie, de détruire une existence ou de l’élever au firmament. Hybridation. Parfois il sonne cru, dans une bouche de serpent, parfois il prend des airs tendres, quand une mère l’explique à sa fille. Ma mère, ma mère qui est une Dryade, ma mère qui me prend sur ses genoux, ma mère qui parle, parle, parle. Hybridation. Qu’est ce que ce mot peut-il bien évoquer à une fillette de cinq ans ? Presque rien, juste la vague évocation d’une différence, à peine. J’ai été si fière, si jalousement fière. J’étais hybride, j’étais unique. Je levais haut la tête en souriant, parce que je représentais quelque chose, tout simplement. A cette époque la vision que j’avais des choses était pure, si peu conditionné à celui des adultes qui m’entouraient. Mes yeux ne voyaient pas, mes oreilles n’écoutaient pas. C’était tellement simple.

    Hybridation. L’histoire de ma famille, la mienne, porter par des générations et des générations. Depuis la nuit des temps, depuis l’aurore, depuis le crépuscule. Depuis toujours.

    Ma famille vient de loin, tellement loin, qu’on ne sait plus bien d’où nous sommes partit. Le vent souffle dans notre dos, il nous entraîne toujours plus loin. Nous ne nous arrêtons pas, quitte à nous perdre. Ombres furtives dans la nuit noire. Dans nos veines, coule le sang des Vélanes, des Harpies, des Géant, des Faunes, des Centaures, des Atlantes… Sang mêlés, mille et une fois. Sang rare, sang impure. Je n’ai pas peur, je n’ai pas honte. Mais je me souviens. Je n’oublie pas qu’au-delà de ma vérité, il y a celle des autres. Leurs peurs, leurs appréhensions, leurs colères. Leurs incompréhensions, aussi. Je n’oublis pas les fissures dans mon bonheur, celles qu’on des autres, et celles qui sont encrées en moi, pas par choix, mais par obligation. Au fil des années, j’ai compris certaines choses, j’ai vue la joie et la tristesse. J’ai compris la position que nous occupions, les choix que nous ne pouvions faire, la nature que nous ne pouvions renier. Le monde a changé, moi aussi.

    03/05/2005


    - Papa ?

    Il ne répond pas, assis sur le canapé, le visage entre les mains.

    - Papa ?

    Rien, juste sa respiration lourde, rauque. Le salon est sombre, les rideaux sont tirés. Une lumière impersonnelle enveloppe la pièce. Le silence, le silence accablant, seulement entrecoupé par les sanglots de mon père. J’ai peur, je ne comprends pas ce qu’il ce passe, ma mère entoure mon père de ses bras, elle chuchote à son oreille. De temps en temps elle ce tourne vers moi et me souris en me disant que je devrais aller jouer dehors. Mais je ne veux pas. Il ce passe quelque chose de grave, je le sens. Je me tourne vers mon oncle, accoudé au comptoir de la cuisine, une cigarette aux lèvres. Il tire nerveusement dessus, de larges cernes noirs sous les yeux.

    - Jean ?

    Il tourne doucement la tête vers moi, sont visage encore jeune m’accorde un sourire crispé. Il s’approche, écrase son mégot dans le cendrier de la table basse et me prend sur ses genoux. Je ne dis rien, passe mes petits bras autour de son cou en frottant ma tête contre ses cheveux bouclé. Il me serre fort.

    - Elle a le droit de savoir, Charles, chuchote-t-il à mon père.
    Celui-ci lève la tête quelques instants, plonge ses yeux dans les miens. Il y a tant de douleur en lui, tant de désespoir. Sa bouche ce tort en une grimace douloureuse, et il jette un regard suppliant à son frère.
    - Tu ne pourras pas la protéger indéfiniment, c’est préférable qu’elle apprenne ca de ma bouche que
    de celle d’une personne mal intentionné, continue mon oncle.

    Je me tourne de nouveau vers mon père, qui lui, baisse de nouveau la tête, la secoue doucement. Jean me serre un peu plus fort, puis m’écarte un peu, pour pouvoir me regarder dans les yeux.

    - Adrian, tu es une grande fille, pas vrai…

    Et les lèvres de Jean ce meuvent, il parle, il parle, il parle. Moi j'écoute, les yeux grands ouverts, j'enregistre les informations. J'essaye de les mettre bout à bout, avec mes raisonnements de petite fille. Pourtant, plus j'emboîte, plus le puzzle semble incongrue, sans aucun sens. Je fronce les sourcils, essaye de comprendre. Les mots glisse sur moi comme l'eau sur une feuille de nénuphar. Antisémitisme, pogrom, lois, Sénat. Tout des syllabes, ces voyelles, menaçantes. Pourtant, je sens monté en moi un sentiment inconnue, quelque chose de totalement nouveau pour ma petite personne.

    - Mais c'est pas juste! je m'exclame.

    Injustice? Mon oncle rit, un rire sec et amer.

    - Gaspard aussi, il disait ca, tu sais. Mais Gaspard, maintenant, il a de gros, gros problèmes, ma chérie.

    Gaspard. Mon oncle Gaspard. Le jumeau de Jean, le demi-frère de mon père. L'enfant terrible de la famille. Celui que mon père a passé tant de temps à protéger, celui qui me faisait faire l'avion dans ces grands bras trop poilus et qui me laissait toucher ses petite cornes de Faunes sans rouspéter. Mon oncle Gaspard, qui me parlait de révolution sans que j'en comprenne un mot. Mon oncle Gaspard, qui, ce samedi, était aller à une manifestation devant le Sénat, à Paris.

    - Il a fait beaucoup de mal à quelqu'un, Adrian, beaucoup de mal.

    Beaucoup de mal, certes, parce que dans ma tête, la mort, le meurtre, signifie peu de chose. La seule chose que je vois, c'est mon oncle qui part loin, loin, dans las Alpes avec des gens comme lui, mon oncle qui part loin et que je ne verrais plus. Peu m'importe qui est Lucian Bertignac, peu m'importe qu'il soit préfet de police, peu m'importe qu'il soit mort de la main de Gaspard. Peu m'importe que mon oncle soit un criminel. Le seule chose que je vois, c'est ma famille qui s'éparpille. Ce que je vois, c'est la haine avec laquelle on nous traite, pour peu que notre sang soit mêlé de celui d'un monstre.
    Injustice. Le mot résonne dans ma tête, mes larmes coulent, avec celles de mon père et de Jean. Je leurs prend les mains, et je serre fort, parce que j'ai besoin d'eux, et que j'ai peur de les perdre. J'ai peur qu'on me les enlève.


    09/09/2007


    - C’était ca?

    Ma voix ce casse, et ma vision ce brouille à nouveau. Les larmes perlent le long de mes joues. La main de ma mère glisse sur mes cheveux, s’emmêle dans mes boucles. Peur, joie, euphorie. Ma mère imbibe un coton de biseptine, tamponnant doucement sur les fines plaies qui couvrent mes pieds rouges. Je respire profondément, essuies mes larmes et regarde les mains de maman s’agitées. La peur s’efface si facilement, c’est si facile d’oublier. Comme si je ne venais pas de me réveiller au beau milieu des bois, pieds nus et en pyjama un dimanche matin.

    - C’est incroyable.

    Je ne mens pas. Ca l’est. Mieux que la magie, mieux que sentir la délicieuse pression passer des doigts à la baguette. Jouissif, immense, infinie. Rien d’autre. Pas d’image, pas de souvenirs, juste un trou béant dans sa conscience, et les sensations grisantes. Sentir son corps disparaître, ce fondre parfaitement dans chaque fleur, dans chaque brindille, ce sentir si proche des origines. Sentiments céleste. Ma mère sourit, elle jette le coton souillé sur la table. Elle sourit encore. Ses yeux brillent d’une lueur surhumaine, la Dryade se manifeste en elle.

    - Et c’est de mieux en mieux, chantonne-t-elle presque.

    L’Appel. Mon premier. J’en ai tant parlé avec elle. Qu’arriverait-il, risquais-je quelque chose. Ce matin, j’étais prête. C’était effrayant, mais j’étais prête. Bien sur, il y avait des zones d’ombres, des choses que je ne comprenais pas, ou, au contraire, que je comprenais trop bien. Je savais les risques, évidemment, mais à l’époque je suis dit que c’était tellement loin, tout ca. Que j’avais le temps de profiter avant de disparaître. Ma mère, par contre, je le voyais, s’en voulait terriblement, elle était tiraillée entre notre bonheur et l’épée de Damoclès au dessus de moi. Elle, nous, ne savons rien de l’hybridation des Dryades, il y a si peu de document, si peu de témoignages. Le seul que nous n’ayons jamais trouvé je me présageais mon sombre destin.

    La vie en suspend est quelque chose d’étrange, à la fois grisant et infiniment tragique. Voudrais-je une autre vie ? Oui, évidemment. Mais cette vie est la mienne.

    - Adrian !

    Mon père entre, une mine de mère poule affolée collée au visage. Il accourt vers moi et me sert à m’en étouffer. Je tousse dans son pull.

    - Mon sucre, tu as attrapée froid ?

    Je fais oui de la tête, ma mère nous regarde, attendrie. Papa ce relève brusquement, comme illuminé.

    - Je vais te tricoter une écharpe, pépiait-il.

    Je fais oui de la tête, trop fatiguée pour protester, pour lui dire que ses écharpes grattent et qu’elles sont laides. Je baille pendant que mon père ce lance dans une envolée lyrique sur la laine de mouton bio. Suis-je une Dryade maintenant, me questionne ma conscience. Le cerveau dit non, le cœur dit oui. Je soupire. Tout ca est beaucoup trop compliqué. Je roule dans le canapé et mes yeux ce ferment. Doucement j e sens la chaleur de ma mère m’étreindre.

    Devant moi, mon père braille toujours.

    12/07/2007

    Je caresse doucement le papier épais de la lettre, passe mon doigt sur l’écriture manuscrite, parfaite. Papier bleu, encre bleue, cachet bleu. Je souris. Relis la lettre encore une fois. Les mots rentre, pour ressortir aussitôt, impossible de les garder tant ils sont irréels. Je me retourne sur mon lit, pose le papier sur ma table de chevet. Moi qui crois tout savoir, comme je suis ignorante. Comme mon monde est étroit. J’ai envie de rire, l’horizon s’éclaire, les nuages ce dégage. Un peu.

    - Beauxbâtons, hein ?

    Je souris. Beauxbâtons. Rien de moins que la plus réputée des quelques écoles de sorcellerie française, rien de moins que l’un des plus beau château au monde, que les plus grandes serres de France. Est-ce bien sérieux ? Est-ce vraiment réel. C’est trop facile. Comme si un hybride pouvait débarquer sur la scène étudiante de cette manière. La vérité, c’est que je me suis trompée. Je ne voyais que ce que je voulais voir. Je ne connaissais que l’idyllique histoire d’amour entre un sorcier et une Dryade, ce même amour qui était aussi grand que le dégoût et le rejet qu’il engendrait. Je n’avais prit connaissance que des franges les plus radicales d’anti hybrides. Ce que je ne savais pas alors, c’est que la communauté magique avait un tout autre visage. Plus rayonnant, plus tolérant.
    Beauxbâtons. Je vais à Beauxbâtons.

    Je pense soudain à Madame Maxime. Quelle belle personne. Une hybride, directrice, femme d’honneur, femme publique. Savait-elle le risque qu’elle prenait en acceptant des demi-sang dans son établissement ? Je ne l’ai jamais vue, mais je la tiens déjà tellement en respect. Elle était arrivée d’un coup, elle et son école. Elle avait balayé d’un coup les vieux sénateurs sénile, les insultes, parfois même l’isolation de notre famille. Elle avait rangée au placard les traités poussiéreux et les lois injustes. Pour moi, elle représente le changement, elle me donne l’espoir. Cette femme, au péril de sa réputation et de son poste, nous propose une main secourable.

    Evidemment, l’ombre du ministère plane toujours. Mais qu’importe, puisque je ne suis plus seule dans la bataille. Je vais sortir de cette maison, de cette propriété, pour la première fois. Je vais voir le monde de mes propres yeux, et faire face.

    - Fichu sénateur, il peut aller ce torcher.

    Je glousse avec un agréable sentiment de victoire, aussi petite soit-elle, remuant mon cœur. En bas des escaliers, j’entends mes parents en train de déboucher une bouteille, ils rient comme des enfants. Dans la maison, un nouveau souffle naît. Je sens mes poumons ce dégager. Je saisis la deuxième lettre, celle de Gaspard, mon oncle.

    Ses messages sont codés, difficiles à déchiffrer, mais j’ai réussi à comprendre qu’il va bien, qu’il ce cache dans les massifs des Alpes avec un bandes de géants et de centaures, radical. Il parle, il parle de révolution, de changer le monde. J’ai envie de lui écrire, de lui dire que moi aussi, je vais changer le monde, que je suis sur le point de le faire. Que la peur s’en est allé, même si je sais qu’elle va revenir.
    J’ai envie de lui dire que je vais bien, et à quel point je suis heureuse. J’ai envie de lui promettre un avenir meilleur. Je crois en lui, je crois en moi. Je crois en absolument tout.

    30/08/2008


    « Soit toujours fière de tes racines, ma chérie. Elles sont la seule chose qu’on ne te prendra pas. »
    Je tourne les pages de mon livre, les mots ne veulent plus rien dire, n’ont plus aucun sens. Je ne comprends rien à ce que je lis, pourtant je continue. Je le sens, j’entends le bruissement des feuilles dehors, le grincement des arbres qui ce balancent dans le vent, les insectes dans l’herbe folles. Je le sens. L’Appel. Je tourne une nouvelle page, je ne veux pas y aller. J’ai peur. Tellement peur. Je ne veux pas. Je secoue la tête, essaye de me concentrer sur le texte sous mon nez. Je relis plusieurs fois la même phrase, son sens m’échappe. Ma mère, assise en face dans le canapé pause les yeux sur moi, elle comprend mon manège. Elle me regarde, la mine partagée entre la tristesse et l’agacement. Je lève les yeux vers elle, la fusille du regard. Elle penche la tête et soupire. Je reviens à ma lecture, sans plus de succès. Je sens la peau de mon avant-bras ce durcir doucement, la forme de l’écorce ce dessiner dans ma chair. Je sers les dents en essayant d’endiguer le phénomène, mais déjà, mon pied droit devient raise. Non, pas maintenant. Pas si tôt.

    - Laisse aller, n’ais pas peur, souffle ma mère.

    Je la fusille de nouveau du regard, mais l’expression de son visage a changé. Elle me toise stoïque.

    - Laisse aller.

    Je me mords la lèvre. L’Appel est trop fort. Je me lève, ouvre la porte de la baie vitrée et sors brutalement. Immédiatement, les odeurs des sous-bois envahissent mes narines, et je sens mon cœur vibré au rythme de la forêt. Mon esprit ce scinde, comme si j’allais sombrer dans l’inconscience, j’ai peur. La mousse et l’écorce grimpe le long de ma jambe et de mon bras, le peau de mon œil gauche jusqu’à ma tempes ce rigidifie à son tour. L’immensité de la forêt m’appelle, je titube, étourdit par la pression et l’ivresse. Mes résistances cèdent pour de bon, et mon esprit sombre lentement.

    Le soir est tombé. Je souffle lentement, l’air froid de décembre me mord férocement les joues. La crise est passée, la peur est partie. Je suis de retour, j’ai résisté à l’Appel. L’étau de terreur qui compressait mon ventre cet après-midi est parti. Pouf, comme ca. Je ne ma rappelle de rien, comme d’habitude, mais je sais que ma conscience humaine a vaincue. Je ressens les choses, les émotions violemment. Trop violemment. Cher moi tout prend une dimension tentaculaire. C’est fatiguant. Je me sens paisible, maintenant. Il ne reste en moi que l’étrange exaltation qui précède mes escapades (forcées) en forêt. Le soulagement embaume mon cœur, qui lui, est de nouveau léger comme une plume. Derrière la baie vitrée de la maison, ma mère m’attend, je lui souris. Elle ouvre la porte-fenêtre et m’accueille avec une couverture bien chaude. Derrière le bar américain, dans la cuisine, mon père rouspète en préparant le dîner.

    - Elle va encore ce choper la crève… Franchement, Adrian, je ne te tricote pas des écharpes pour rien, merde !

    Ma mère et moi rions sous cape, je m’emmitoufle dans ma couette et m’étale sur le grand canapé.

    - De toute façon elles sont moches tes écharpes, je rumine.
    Mon père ce retourne, poêle à la main, tablier imprimé vache au coup, il prend sa mine de vieille dame outrée.

    - Quoi ?! Mon dieu ma fille, ce que tu peux être superficielle ! Pense plutôt aux moutons que j’ai sauvés, au carbone que je n’ai pas dépensé ! Je sauve le monde, chérie ! Pense-y, même si la couleur des fils ne sont pas très seyante et…

    Je me bouche les oreilles avec les pend de ma couette en soupirant. Ces écharpes sont vraiment trop moche, j’ai beau être amie de la nature, des animaux, de la faune et de la flore et tout le branlebas écologiste. Désolé, mais j’ai quand même des limites, une écharpe couleur pisse d’âne, c’est à des milles de ce que je peu tolérer.

    - M’en fou, je les porterais pas !
    - Ce que tu peux être têtue, ce lamente ma mère.

    Je lui tire la langue et dandine des fesses pour trouver la bonne position. Un petit somme après l’Appel ? Y’a que ca de vrai.


    15/04/2010


    Le jeudi, jour national du contrôle « surprise » pour tous les professeurs de Beauxbâtons, s’apparente souvent pour ces gentils élèves à un abysse sans fin. On voit les étudiants ce traîner de cours en cours tel des suppliciés, certains soupirent, d’autres gémissent, mais quoi qu’il en soit, il règne une atmosphère lourde dans les couloirs de l’Académie. Le matin, on ce réveille en ce disant que c’est la fin du monde, et le soir on ce couche en ne ce disant rien du tout, tout simplement parce qu’on en est pas capable. Tout les dortoirs ce transforment alors en immense potager où les élèves légumisent tranquillement jusqu’au jour suivant. Autant dire que le vendredi matin, c’est pas franchement la joie.

    Alors, non, je n’aime pas franchement les jeudis. Surtout que nous sommes en ce moment mêmes mercredi soir et qu’une sorte de post-dépression s’est abattue sur nous. Je n’aime pas du tout cette ambiance. Je monte sur le muret, pause les points sur les hanches et observe la serre de haut. Soupir. Je saute vaillamment à terre et me dirige vers le fond du bâtiment, là ou on lieu les troques. En marchant j’avise un Armagnac, absolument canon soit dit-en passant, complètement abattu, les épaules flasques et le visage affaissé. Je lui tape sur l’épaule.

    - Allez, coco ! On fait 50/50 sur les sachets de 12 de la semaine dernière, courage !

    Mon fumeur du dimanche me regarde, les yeux brillants d’une reconnaissance totalement flippante.

    - Sérieux, beugle-t-il avec la classe d'un pachyderme en rut.

    J’acquiesce et fait une petite révérence en l’invitant à rejoindre le fond de la salle.

    - C’est par ici.

    Il détale comme un lapin, je souris. Et hop, un point en plus pour mon karma ! Les speeds ce vendent moins bien ces temps si, peut-être sont-ils encore trop cher ? Je lève les yeux vers le plafond en verre, le ciel transparait, le scintillement des étoiles en est décuplé. Belle nuit.

    - Adrian ! Putain, d’où du brade la marchandise sans me le dire ?!

    Arthur, je rentre la tête dans les épaules, et me retourne. Arthur est un peu notre maître à tous ici, c’est lui le plus vieux, il est en septième année*, c’est aussi un peu le patron de notre (douteuse) petite affaire. C’est lui qui fixe les prix, c’est lui qui coordonne l’entretien des plantations, qui finance quand il y a des coups durs. En gros, s’il y a quelque chose qu’un Courtenay apprend des la première année, c’est qu’il ne faut surtout pas l’énerver. Ce que je viens de faire.

    - Arthuuuuur. Ils ne vont jamais partir, ces fichus sachets si on ne leurs donnent un petit coup de pouce.

    Il me toise, amusé et agacé, tire un peu sur son spliff.

    - Me tape pas, je couine en faisant mine de me protéger.

    - Oh non, je vais faire pire.

    Je le regarde, incrédule. Puis soudain mon cerveau fait tilt.

    - Sérieusement ? je demande, quelque peu désespérée.

    - Je suis sûr que tu vas adorer. Aller, va me changer les caisses à aluminium pour les plans de cannabis, ca fait cinq mois que personne ne ce dévoue.

    - Et pour cause, je ronchonne.

    Il me jette un coup d’œil, le genre qui te donne des frissons dans le dos, et m’indique la direction vers le rayonnage. Je soupire bruyamment et m’y dirige en traînant les pieds. Je lui lance un dernier regard larmoyant, auquel il reste de glace, et je m’enfonce dans le sombre couloir végétal

    - Vilain, je grogne.
    - Je t’entends, répond-t-il.


    * La scène ce déroule en l’année scolaire 2010/2011, donc l’année dernière. Sachant qu’Arthur est en septième année, il sera donc partit pour l’année scolaire 2011/2012, la nôtre. Ce qui laisse la place libre pour Alexandre Morel (alias Super-Garance !) !


    Vous à Beauxbâtons :



  • Votre baguette : Bois de saule noir, 21,5 cm, cœur composé d'un cheveux de Dryade. Souple.

  • Votre année : Cinquième année.

  • Votre armoirie : Armoirie Courtenay.

  • Vos options : Divination, Magizoologie. Occlumancie, Magidigitation.

  • Votre animal de compagnie : Un hibou gris cendré, appelé Olaf.

  • Votre Patronus : Un minuscule Oiseau Mouche, qu'elle ne contrôle, cependant, pas encore très bien.

  • Votre position face aux hybrides : Adrian ce bat contre son propre sang hybride, mais elle a conscience des injustices dont elle est victime, en cas de conflit, elle prendrait évidemment le parti des Hybrides.


    Vous derrière l'écran :



  • Prénom ou pseudo : Faisons simple, appelé moi Lou.

  • Âge : Quinze ans, j’suis une grande ! Wink

  • Avatar : Imogen Poots

  • Expérience en RP : Franchement limitée, mais je peux au moins me vanter d’avoir une typo potable.

  • Comment avez-vous connu le forum? Très simple : Tapé sur Google les deux mots les plus clichés du monde « RPG, Académie », fouiné un peu… BINGO !

  • Double-compte? :
Moi ? Un double compte ? Que nenni !


Dernière édition par Adrian Solheim le Dim 25 Sep - 9:37, édité 29 fois
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Adrian Solheim
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeVen 23 Sep - 22:09

Voilà, j'ai ENFIN terminée! Désolé d'avoir trainée, mais j'avais une montagne de choses très urgentes à fair! (genre, lire les Misérables en entier, faire un corpus et un commentaire, terminer mon projet d'art pla'.. Hum, je m'écarte.) Bref, j'en ai finis avec cette fichue fiche, vous n'avez plus qu'à modérer ( si vous avez le courage de tout lire, j'ai peut-être fait un chouya trop long, hum)!

PS: Ça serait possible de nettoyer la page de tout les commentaires inutiles, histoire de garder celui-ci et la modération? C'est juste histoire d'allégée un peu la page au niveau de la barre de défilement, elle est déjà tellement minuscule rien qu'avec le texte de présentation que j'ai peur de faire fuir d'éventuels Rpgistes en mal de topics. Et pusi ca ferait quand même plus propre! Very Happy
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Rosaline A. Delaplume
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeSam 24 Sep - 8:42

Bienvenue !
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Mélusine
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeSam 24 Sep - 11:48

Aaaah Very Happy Enfin une fiche d'Adrian! Quel accouchement difficile Razz

Allez, partons sans plus attendre sur cette modération Wink Je te rapelle juste notre barème afin que tout soit bien clair :

- Ce qui est vert est accepté sans aucun souci.
- Ce qui est orange présente des problèmes de cohérence ou demande des explications supplémentaires.
- Ce qui est rouge est incohérent ou ne cadre pas avec le synopsis du forum et doit donc être changé.

Bon, je prends un red-bull et je commence Laughing

    L'Essentiel :



  • Nom : ça ne sonne pas des masses français tout ça Rolling Eyes Il faudrait au moins en préciser l'origine quelque part.

  • Prénom : ça non plus d'ailleurs Razz

  • Sexe : Ok.

  • Date de naissance : Il faudrait rajouter la mention de ton âge Wink


  • Hybridation : Ok.

  • Valeur du sang : Alors, ici il faudrait préciser ton degré d'hybridation, soit demi-sang puisque c'est ta mère qui est Dryade.


    Vous en profondeur :



  • Votre physique : Alors, j'apprécie beaucoup ton idée d'écrire ta fiche de manière romancée mais il ne faut pas perdre de vue que les éléments essentiels doivent s'y trouver. Ainsi, si tu écris, beaucoup, tu décris peu. A part la couleur de ses cheveux, le fait qu'elle soit jolie et qu'elle ait une tache de naissance, tu ne précise rien d'autre sur le physique d'Adrian, si ce n'est ce qui est des caractéristiques chroniques de la famille. Qu'en est-il de son poids, sa taille, la manière dont elle s'habille, se coiffe, etc?

  • Votre mental : Je n'aime pas tellement le temre de "speed" nous parlons plutôt de "magikjuana" à Beauxbâtons Wink Qaunt au personnage d'Arthur, Alexandre a été validé comme un des meneurs du petit commerce des Courtenay. Peut-être peux-tu lui demander de le citer dans ta fiche? Ici aussi nous rencontrons le même souci qu'au dessus. Tu raconte de très charmants épisodes qui prouvent que tu as très bien assimilé notre contexte mais mis à part tes petit sou-titre, tu ne précise pas beaucoup sur ton personnage. Quels sont ses qualités? ses défauts? Quels cours apprécie-t-elle à l'Académie? etc.

  • Votre histoire : Ok.


    Vous à Beauxbâtons :



  • Votre baguette : Ok.

  • Votre année : Ok.

  • Votre armoirie : Ok.

  • Vos options : Ok.

  • Votre animal de compagnie : Ok.

  • Votre Patronus : Ok.

  • Votre position face aux hybrides : J'aimerais savoir quelle serait sa réaction si un conflit ouvert éclatait entre le ministère et les Hybrides.


    Vous derrière l'écran :



  • Prénom ou pseudo : Ok.

  • Âge : Ok.

  • Avatar : Ok.

  • Expérience en RP : Ok.

  • Comment avez-vous connu le forum? Ok.

  • Double-compte? : Ok.


Alors, Je dois te dire que j'adore la façon dont tu as rédigé cette fiche. Tu as une plume très agréable à lire, très peu de fautes, une imagination très riche et une excellente intégration de notre contexte. L'idée de rédiger ta fiche en cross-over est également excellente toutefois c'est un mal pour un bien en ce qui concerne les parties Physique et Mental. Peut-être serait-ce intéressant de passer ces parties dans ton histoire et de rédiger un texte plus simple, plus précis et plus descriptif pour ton mental et ton physique. N'oublies pas que ta fiche est l'élément de référence que chaque rôliste viendra lire avant de commencer un topic avec toi. S'ils sont confrontés à une longue tartine, ils vont vite être découragés Razz

Corrige-moi ça et on en reparle. Si tu as une question, tu connais la manoeuvre Wink
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Adrian Solheim
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeSam 24 Sep - 13:15

Okééé. Alors, je vais me mettre au boulot et corriger tout ca! J'ai couper le texte qui était à reprendre pour faire un peu plus propre, pour ce qui est du mental, du physique. Mis à part, tout les autres fautes ont été corrigées, hormis, le nom et le prénom, qui ira avec l'histoire ( J'espère ne pas être obligée de prendre un nom typiquement français, parce que bon, la France n'est pas entièrement représentée par des Jean-Charle et des Marie-Claudette! Et Mohamed, et Cheng-Sui? x) )

Sur la question du mental et du physique, j'ai aussi pas mal cogitée, et les habitudes ont repris le dessus! Excuse-moi, tout ca a dû être pénible à lire! x) Pour la petite histoire, n'ayant pas grande expérience du RP aucun niveau en RP, je n'ai connue qu'un site, qui lui, demandait de romancer les parties. J'aurais dû demander avant de me lancer dans mes envolées lyriques! Smile Je vais rectifier tout ca!

Du coup, je pense que je vais faire, genre, un Big Up en ton honneur, juste histoire de te remercier d'avoir tenue jusqu'au bout de la fiche ( avec juste UN redbull, wow!). Very Happy Je te préviens quand j'ai terminée!

BIG UP!
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Adrian Solheim
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeSam 24 Sep - 19:47

Et au faite, merci Rosaline! Very Happy
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeDim 25 Sep - 9:42

Re-Terminer! Very Happy
Alors, j'ai raccourcis le physique et le mental, quant à l'histoire, j'ai fait un résumé, les textes étant tout à fait optionnels! J'ai également corrigé les autres fautes je n'attends plus que la re-modération!

Merci de ta patience!
PS: si les textes sont de trop je les enlèveraient! Very Happy
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Mélusine
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitimeDim 25 Sep - 10:17

Il n'y a aucun souci au niveau des textes. La fiche de chacun est personnalisable à souhait tant qu'elle répond aux exigences du staff.

Je trouve ta fiche excellente comme elle est et c'est donc avec beaucoup de plaisir que je te valide!

Bienvenue à Courtenay Mademoiselle la cramée solaire qui prend son temps Razz
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MessageSujet: Re: Adrian Solheim    Adrian Solheim  Icon_minitime

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