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 Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences

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AuteurMessage
Perséphone de Siorac
Sixième année LusignanPerséphone de SioracSixième année Lusignan
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Date d'inscription : 06/11/2011
Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Vide
MessageSujet: Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences   Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Icon_minitimeVen 11 Nov - 11:41

Carte d'Identité


    L'Essentiel :



  • Nom : De Siorac

  • Prénom : Perséphone

  • Sexe : Féminin

  • Date de naissance : 4 février 1995, ce qui lui fait donc 16 ans.


  • Hybridation : Demi-sang de nymphe.

  • Valeur du sang : /


    Vous en profondeur :



  • Votre physique :
    Si on ne peut la qualifier de belle, on ne peut pas nier que Perséphone est gracieuse. Un peu maigre peut-être, trop petite pour son âge, d’apparence chétive, elle a néanmoins une élégante silhouette. Son port noble et altier permet de connaitre, en un regard, la classe sociale dont elle est issue. Sa peau est bien trop pâle pour sembler humaine. Ce qui n’est pas faux, puisque Perséphone la tient de son Alséide de mère.

    Ayant appris, depuis sa naissance à mesurer chacun de ses gestes pour être distinguée à toute occasion, une certaine distinction parait dans le moindre de ses mouvements.
    Les traits de son visage sont creusés. Ses joues ne sont pas pleines, bien au contraire. Cela donne une forme triangulaire à sa figure. Son front est assez haut et dégagé, plutôt prépondérant. Ses cheveux, d’un noir que le soleil pare de reflets bleutés, sont implantés au sommet de son crâne. Elle a de larges yeux d’un gris rêveurs, ouverts sur le monde qui l’entoure, et qui illuminent son visage anguleux. Son regard clair a l’air de vouloir enregistrer tout ce qu’ils voient, et dedans brûle une intense soif de savoir, qui s’intensifie encore lorsqu’on lui enseigne quelque chose. Surtout si le sujet la passionne. Son nez est petit et court, pointu. Il ressemble à s’y méprendre à un museau de souris. Elle possède en outre une bouche fine, dont les lèvres bien dessinées esquissent sans cesse une moue songeuse.

    De couleurs claires, très rarement vives, parfois d'un noir de jais, les tenues de Perséphone sont toujours embellies de riches atours. Dès qu’elle en a l’occasion, elle assortit ses toilettes surannées de couvre-chef aussi divers que variés, dissimulant un peu sa chevelure toujours relâchée. Elle passe pour un coquète, mais n’est en vérité pas autant attachée aux apparences qu’on le croit. Elle doit simplement faire honneur à son rang.
    A cause de son sang d’Alséide, c'est-à-dire une nymphe des bocages et des sous-bois, elle a une voix râpeuse est assez désagréable à entendre. Chantée, elle est pire encore. Elle émet une sorte de long hurlement discordant, insupportable pour les oreilles des personnes se trouvant à un rayon d’un kilomètre. Même une casserole se sentirait vexée si on comparant son cliniquement à la voix de Perséphone.


  • Votre mental :
    Mais l’apparence quelque peu hautaine de Perséphone cache une nature profonde bien différente. C’est chez elle que l’expression les yeux sont le miroir de l’âme revêt toute sa signification.

    Au premier abord, elle parait légèrement froide et distante, mais les relations qu’elle entretient avec les autres se réchauffent lorsqu’on apprend à la connaitre. Sincère, tout en possédant une certaine diplomatie, Perséphone préfère la solitude à l'abondance de relations superficielles. En toute chose et notamment dans ses relations, elle cherche ce qui est rare et profond, intense ou subtil, fort ou durable.
    Perséphone a peur de la mort et de la souffrance, la sienne comme celle de ceux qu’elle aime. Riche enfants choyée, elle n’a jamais manqué de rien, et ne sait pas vraiment se débrouiller seule. Depuis son entrée à l’Académie, elle a cependant acquis un peu d’autonomie. Sa sensualité est mesurée et sélective, et elle privilégie la qualité et non la quantité. Elle favorise certains sens et a tendance à négliger les autres.

    Ses fleurs préférées sont les narcisses. Bien qu’elle chante horriblement mal, ce qu’elle sait faire avec un instrument de musique entre les mains est un ravissement pour les oreilles. Assez sportive, Perséphone apprécie défier les lois de l’altitude sur un balai, et se sentir comme en osmose avec le vent, libre, tel un oiseau. Grâce à sa mère, elle a toujours été très proche de la nature. Pour elle, la magie ne s’enseigne nulle part, puisqu’elle s’apprend partout. Le fait de réunir tous les sorciers d’un pays dans un même établissement n’est pas pour elle une nécessité, mais simplement un souci pratique.

    Jamais elle ne s’énerve, préférant régler les rares conflits dans lesquels elle est engagé au discutant calmement, pourquoi pas autour d’une choppe de Bièraubeurre. Pour elle, faire preuve d’irritation lors d’une dispute ne fera qu’envenimer la situation, et est donc tout bonnement inutile. Toujours calme, elle a, dès son plus jeune âge, développé une impressionnante soif de connaissance, qu’elle étanche par tous les moyens possibles et imaginables. Quand elle était encore une enfant, elle voulait toujours tout savoir su n’importe quel sujet, si bien qu’elle exaspérait ses précepteurs et ses parents en les inondant de questions, la plupart commençant par « Pourquoi » ou « Comment ». Son plus grand plaisir est sans doute de passer des heures entières dans un endroit calme, un livre entre les mains. Véritable dévoreuse de livre, elle lit tout ce qui lui passe à portée de main. Elle apprécie aussi bien étudier la magie théorique que la magie pratique. Sa matière favorite reste néanmoins l’Histoire de la Magie, remonter aux origines archaïques de tout ce qui fait sa vie la passionnant véritablement.

    Elle a une grande capacité à digérer l’information, une mémoire phénoménale, et aime apprendre. Elle est capable d’étudier des sujets ardus ou complexes des heures durant, et apprécie tout connaitre d’un domaine. Elle a une ouverture d’esprit incroyable et une curiosité intellectuelle insatiable. Au quotidien, elle fuit l’ennui et son imagination lui ouvre les portes de tous les domaines créatifs. Perspicace, elle ne manque pas de discernement.

    Très prudente, elle repère facilement, et rapidement, les dangers, et sait les évaluer. Elle n’aime pas les risques, ni tout ce qui s’y rapporte, comme l’inconnu, le désordre, le flou, l’ambiguïté et l’irrationnel. Elle préfère à cela la clarté, la sécurité, l’ordre et la normalité. Bien qu’on ne puisse pas la considérer elle-même comme normale. Dotée d'une grande capacité d'analyse, elle préfère observer et écouter avant d'agir.

    Elle est cependant souvent sur la défensive, et il est difficile d’entrer dans son intimité. Elle se méfie de ce qui lui est étranger, et se replie sur elle-même lorsqu’elle se trouve face à une difficulté… alors que le problème est bien souvent dans sa tête.
    Perséphone est très attachée aux traditions, et ce côté conventionnel la bloque parfois. Très exigeante, elle manque de tolérance à l'égard de ses proches qu’elle n’épargne pas au moindre faux pas.

    Concernant les Moldus, elle ne leur reproche rien, et les plaint au contraire de ne posséder aucun pouvoir magique, considérant que leur vie doit être bien difficile. Elle est plus dure avec les Nés-Moldus et les Cracmols. Elle les considère comme des erreurs de la nature, ne pouvant concevoir que des enfants de Moldus naissent avec des pouvoirs, et vice versa.


  • Votre histoire :
    C’est l’histoire d’une jeune fille. Elle est issue d’une riche famille de la Noblesse Périgordine, et vit au château de Rouffillac, sur les hauts du village de Carlux, où se trouvent d’ailleurs des métairies appartenant à sa famille. Elle descend d’Eugène Le Roy, un écrivain Moldu bien connu. Mais depuis que la petite fille de ce dernier a épousé un sorcier, Guilhem de Soriac, plus aucun lien de sang avec des Moldus n’a été remarqué.

    Mais reprenons au commencement.

    •29 novembre 1836.
    C’est l’allégresse au château de Hautefort. Une domestique vient de mettre au monde son fils. Pour Ange Hyacinthe Maxence, baron de Damas et ancien ministre, le propriétaire du domaine, il est évident que dès que le garçon serait en âge de travailler, il entrerait à son service. Mais le destin en a décidé autrement.

    L’enfant montre très vite une grande intelligence, et le baron estime qu’il serait particulièrement stupide de gâcher un tel talent. Dotée d’une grande générosité, il propose aux domestiques, dans une France où la majorité des enfants est analphabètes, et l’école, payante, réservée aux plus riches, de financer l’éducation de leur enfant. Fiers et émus, ceux-ci acceptent. A cinq ans, Eugène, puisque tel est le nom du garçon, fait son entrée à l’école rurale d’Hautefort. Il n’en sortira que six ans plus tard, muni d’un important bagage de connaissances, bien plus cultivé que certains des enfants des classes sociales au-dessus de la sienne.

    Lorsqu’il épouse, en 1877, une femme dont il a déjà un fils, il provoque une grande indignation dans la bonne société. Mais peu lui importe. Il a déjà prouve à tous qu’il était possible de sortir de sa classe sociale, et que ce n’est pas tant la naissance l’important, mais plutôt les facultés que l’on possède. Un an après ce mariage, Eugène et sa compagne auront un seconde enfant. Une fille, nommée Aliénor.
    Il commence très tôt à écrire, mais ce n’est qu’en 1897 que sortira Jacquou le croquant, son roman le plus connu. A présent, il n’est plus Eugène le fils de domestiques, mais Eugène le Roy, l’un des écrivains les plus talentueux que l’on n’a jamais vu.


    •15 janvier 1898.
    Alors que dans le Monde Moldu, l’article J’accuse du bien connu Émile Zola fait grand bruit, les sorciers, eux, ne sont en rien au courant de cette affaire Dreyfus. Ils ne s’intéressent pas à cette sombre histoire. Mais, aussi bien dans la famille d’Eugène que dans celle des nobles sorciers que sont les de Siorac, tout est stupeur. Qui aurait pu croire que la jeune Aliénor épouse Guilhem, alors que tout les oppose ? Un véritable mariage d’amour à n’en pas douter, jamais un mariage de raison aurait uni ces deux là. Un sorcier, une Moldue. L’un issu de la noblesse, l’une, originalement, issue d’un couple de domestique. Soit, grâce au talent de son père, elle fait maintenant partie de la haute société, et beaucoup ont oublié qui étaient ses aïeuls, mais ces épousailles n’en reste pas moins surprenantes. Surtout lorsque cinq ans plus tard, Aliénor met au monde un premier fils, Agulin, qui rentrera, à ses onze ans, dans une académie de sorcellerie, nommée Beauxbâtons. De deux ans sa cadette, Aelís a dignement suivi ses traces.


    •5 mai 1990.
    Près d’un siècle a passé depuis les épousailles entre Aliénor et Guilhem. Dans la famille de Siorac, des générations successives de sorciers sont nées, sont entrées à l’Académie, et en sont ressorties diplômées. Dans le monde Magique, rien, ou presque, n’a changé. De nouveaux balais de courses, bien plus performants, sont sortis, de nouvelles découvertes ont été faites. Un siècle somme toute parfaitement banal. D’après les bruits venant de Grande-Bretagne, le mage noir le plus puissant que l’on n’ait jamais vu a fait parler de lui, son pouvoir s’accroissant chaque jour, avant d’être subitement réduit à néant par un garçon de un an. Qu’importe au français, ils n’ont pas été touchés par ses agissements.

    En ce beau samedi de mai, alors que le dernier né de la famille de Soriac a maintenant vingt-huit ans, et qu’il vit au château de Rouffillac, des cris surpris et paniqués montent de l’une de ses métairies. Sa demeure en étant trop éloignée, Enguerrand de Siorac n’en prend conscience que tard, lorsque l’un de ses métayers vient tambouriner à sa porte.
    « Devoissètz venir rabentament, monsen de Siorac ! Una jove femna sangfoisonada a êtuda trobada dins las bòscas ! (*) »s’écrit-il d’une voix rauque en occitan, sa langue maternelle.

    De Soriac n’a d’autre choix de le suivre, risquant d’avoir des problèmes si la jeune femme en question n’est pas soignée rapidement. Arrivant sur les lieux de l’inquiètent découverte, le sorcier découvre la plus belle femme qu’il n’a jamais vu. Tout en finesse et en grâce, une peu si blanche qu’elle en parait presque translucide, des cheveux de la couleur des blés, et des yeux d’un gris si clair qu’il semble irréel. Une seule conclusion vient à l’esprit de l’homme. Cette femme n’est pas humaine. Une créature si magnifique ne peut l’être ! Sa cuisse gauche est largement ouverte, et un torrent de sang écarlate coule de la blessure. Il sait que grâce à ses compétences en Médicomagie, il parviendra à la soigner.
    C’est ainsi qu’il l’a amenée dans son château de Rouffillac. Trois mois complet sont nécessaires pour que la jeune femme soit remise sur pied. Durant ces longues semaines à jouer le Médicomage, Enguerrand de Siorac en apprend plus sur sa patiente. Il avait donc raison. Elle n’est en rien humaine, mais est une Alséide. Étrange révélation, même pour un sorcier habitué aux créatures pour le moins curieuses.

    Quoiqu’il en soit, le charme de la nymphe a rapidement raison de lui. Sachant pertinemment que toutes les nymphes, y compris les Alséides, sont des créatures libres, il ne lui propose pas de l’épouser, mais simplement de lui faire l’honneur de vivre avec lui.

    Euphrosyne, car c’est ainsi qu’elle se nomme, accepte avec joie.

    (*) Il faut que vous veniez rapidement, monsieur de Siorac ! Une jeune femme blessée a été trouvé dans les bocages !


    • 4 février 1995.
    Après une longue nuit de souffrance, de hurlements poussés dans la douleur de l’enfantement, Euphrosyne met au monde trois enfants. Des triplés. Deux filles, un garçon. Ce dernier semble être le seul à n’avoir que des attributs typiquement humain, alors que ses deux sœurs possèdent la peau de leur mère. Calendal, Perséphone et Ombe, voici les prénoms des nouveaux-nés.

    Profitant du luxe et de la richesse, Enguerrand de Siorac et Euphrosyne décide d’avoir des elfes de maison à leur service, afin de pouvoir se consacrer entièrement à leurs enfants. Lorsque ceux-ci atteignent leurs six ans, ils se voient dans l’obligation d’avoir un précepteur. Seule Perséphone semble prendre plaisir à l’étude. Ombe se montre plus turbulente que jamais, tandis que Calendal les considèrent avec dédain. Qui sont ces gueux qui osent prétendre pouvoir lui enseigner des choses ? Peut-être se croient-ils plus savants que lui. Stupides et orgueilleux précepteurs, idée idiote de ses parents. Poussés à bout par l’attitude insupportable d’Ombe et de Calendal, tous repartant vers d’autres horizons, ne manquent pas de claquer la porte à leur départ. Chaque fois, monsieur de Siorac distribue force claques aux deux garnements, puis félicite chaleureusement Perséphone pour son comportement exemplaire –heureusement qu’elle est là !-

    En 2001, c’est le drame. Suite à un accident, Ombe décède. Maudissant Merlin d’avoir mis cette voiture, objet rutilant et bruyant, Moldu qui plus est, sur le chemin de leur fille, hurlant leur douleur quand on leur a annoncé qu’on ne pouvait plus rien faire, les parents de Perséphone ont haït la nouvelle technologie Moldue, trop développée et puissante, qui retire la vie des innocents aussi facilement que si elle coupait un fil. La pire, pour eux, étant de se dire qu’Ombe n’aurait du se retrouver face à cet engin de malheur, puisqu’elle était sorcière. Plongeant dans une profonde dépression dont ils auront du mal à sortir, Enguerrand et Euphrosyne négligent quelque peu leurs autres enfants. Calendal en profite pour asseoir son pouvoir sur les jeunes Moldus, qu’il terrorise avec des phénomènes magiques qu’ils ne peuvent comprendre. Comme le garçon n’est pas encore entré à l’Académie, le ministère ne peut détecter lorsqu’il se sert de la magie en présence de Moldus. Ainsi, la France a beau être elle aussi sous le secret magique international, personne ne peut se rendre compte que Calendal le brise joyeusement. Alors que Perséphone, bien plus sage, préfère parcourir, seule, la riche nature qui l’entoure. C’est avec un vieux bûcheron qu’elle commence à apprendre tous les noms des végétaux peuplant les forets, avec quelques paysans qu’elle finit par connaitre sur le bout des doigts la faune et la flore pullulant sur les puys et dans les combes. C’est aussi à cette période qu’elle rencontre Aimeric, son premier amour. Encore trop jeune pour comprendre ce qu’est la mort, et pourquoi ses parents sont subitement devenus comme ils le sont, elle coule des jours heureux, dans ce Périgord qu’elle aime tant.

    Brusque retour à la réalité. Ses parents paraissent d’un coup revivre, et apprennent les agissements qu’ont eus leurs enfants durant cette sombre période. Si Euphrosyne est heureuse de savoir sa fille si proche de la nature, et compte alimenter cette passion, Enguerrand, lui, désapprouve. Il estime que sa fille n’a pas à se comporter comme n’importe quelle vagabonde aux pieds noirs de crasse, mais tonne d’une voix forte qu’elle doit se montrer digne de son nom, de son rang et de sa fortune. Et, au fond de lui, craint qu’il arrive à Perséphone la même chose qu’à Ombe, cer il est conscient que les voitures, scooters ou autres bus pullulent, même dans cette région encore très rural qu'est le Périgord, et même dans ce petit village qui meurent lentement, abandonné par les hommes qui préfère aller vivre en ville, où le travail -dans des bureaux- est en plus grand quantité. Et il sait aussi que ces véhicules sont responsables de milliers d’accidents, chaque année, touchant un bon nombre d’enfants, innocents, inconscient du danger qu’ils courent, chaque jour.

    Après tout, avant l'accident, lui même ne savait pas que cette espèce flèche argentée était aussi meurtrière, ni qu'il ne fallait surtout pas passer devant. Il ne savait même pas qu'elle avait la même fonction qu'un balai.

    Alors que les enfants entament leur huitième année, un vieil homme se présente au château. Il a appris que les de Siorac cherchent un précepteur pour leurs enfants, et se porte volontaire pour ce poste. Calendal fait preuve d’une mauvaise volonté phénoménale, si bien que le vieil homme l’envoie au diable vauvert avec interdiction d’en revenir. S’il ne s’intéresse pas aux études, qu’il laisse au moins sa sœur, qui a un goût très prononcé pour le savoir, devenir encore plus érudite qu’elle ne l’est déjà. Il apprend aussi à Perséphone, à sa grande joie, à monter à cheval.

    C’est à l’âge de onze ans que les deux enfants sont entrés à l’Académie. Il semble à Perséphone qu’elle n’a jamais été aussi heureuse que depuis qu’elle y est rentrée. Son frère et elle se sont retrouvés dans deux armoiries différentes. Leurs caractères diffèrent tant que personne n’a été surpris. Ils n’ont jamais été très proches, et s’ils se croisent par hasard au détour d’un couloir, ils se contentent de se saluer poliment, sans même prendre la peine de demander des nouvelles l’un de l’autre. Ils s’ignorent, tout simplement.
    Perséphone a eu quelques difficultés à s’intégrer à l’Académie, mais a à présent une petite quantité d’excellents amis, et les liens qu’ils ont créés resteront sans doute à jamais indestructibles. Plutôt appréciée de ses professeurs pour les résultats qu’elle obtient, elle sait que si elle se faisait moins discrète en cours, elle pourrait être encore plus aimée d’eux. La bibliothèque est rapidement devenue son lieu de prédilection.




    Vous à Beauxbâtons :



  • Votre baguette : Bois de Sorbier et crin de Sombral, 26,7 centimètres, souple et rapide.

  • Votre année : 6ème

  • Votre armoirie : Lusignan

  • Vos options : Magizoologie, Moldologie, Médicomagie et Magidigitation.

  • Votre animal de compagnie : Une Genette commune (si, si, ça existe, je vous jure) nommée Passiflore, et qui aime sa blottir en ronronnant contre sa maitresse.

  • Votre Patronus : Un Choucas des tours (oui, ça existe aussi xD).

  • Votre position face aux hybrides : Étant elle-même hybride, elle ne peut leur reprocher d’exister. Cependant, elle a toujours estimé que les hybridations avec des créatures dangereuses telles que les trolls ou les géants ne pouvaient rien apporter de bon. Ainsi, elle respecte Mme Maxime pour le statut hiérarchique qu’elle occupe, mais estime qu’il aurait été plus responsable de mettre une autre personne à la direction. Il va de soit que si un conflit se déclenchait, Perséphone se rangerait du côté des hybrides, pour défendre et partager sa propre nature.



    Vous derrière l'écran :



  • Prénom ou pseudo : Eugénie

  • Âge : 16 ans

  • Avatar : Séraphine Strange

  • Expérience en RP : Depuis début juillet.

  • Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à Eurydice :3 ♥

  • Double-compte ? : Non.



Dernière édition par Perséphone de Siorac le Mer 16 Nov - 15:48, édité 2 fois
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Mélusine
PNJ ModérationMélusinePNJ Modération
Messages : 163
Date d'inscription : 21/05/2010
Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Vide
MessageSujet: Re: Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences   Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Icon_minitimeVen 11 Nov - 14:47

Bien bien bien, et si nous modérions cette fiche? Wink Alors, tout d'abord, bienvenue à toi!

Ensuite, pour être sûre que la modération sera bien comprise, je te rappelle notre petit barème :

- Ce qui est vert est accepté sans aucun souci.
- Ce qui est orange présente des problèmes de cohérence ou demande des explications supplémentaires.
- Ce qui est rouge est incohérent ou ne cadre pas avec le synopsis du forum et doit donc être changé.

Maintenant que tout est bien clair de toi à moi, commençons cette modération!

    L'Essentiel :



  • Nom : Ok.

  • Prénom : Ok.

  • Sexe : Ok.

  • Date de naissance : C'est bien juste.

  • Hybridation : Alors, ici il faut simplement préciser la mention "nymphe demi-sang". Si tu veux en faire le détail, tu peux le faire dans ta biographie.

  • Valeur du sang : Idem qu'au dessus. De même ici, cette ligne ne s'applique qu'au sorciers non-hybride. Il va falloir la laisser vierge Wink


    Vous en profondeur :



  • Votre physique : Ok.

  • Votre mental : Ok. Intéressant point de vue quant à l'Académie Razz Bonne description

  • Votre histoire : Alors là, respect pour l'occitan! J'admire les gens qui font vivre leur patois. Par contre, petit détail pratique. Si une blessure saigne abondamment, elle est fraîche. Si elle est fraîche elle ne peut pas être infectée au point d'être purulente. Ou alors elle se traîne depuis un petit temps et là, elle est purulente. Il va faloir choisir l'un ou l'autre mais les deux sont impossible Wink

    Sinon j'ai un autre petit souci. Ta description est très intéressante mais franchement intemporelle. tu rédiges l'enfance de Perséphone dans les années 2000 et pourtant tu parles de métayers, de paysans de bucherons et de petite fille qui va nu-pieds, de précepteurs etc. Tous ces élément fleurent bon le XVIII, voir le XIXe siècle mais pas vraiment le XXIe. Il faudrait peut-être un peu moderniser ton histoire, non?

    Ensuite, je trouves la fin de ton histoire un peu bâclée. Comment est morte Ombe? C'est quoi cette histoire d'emprise sur les moldus dans une France magique mise au secret comme partout ailleurs dans le monde?

    Tu te contente de parler de son entrée à Beauxbâtons mais Perséphone y a tout de même passé plus de cinq ans de sa vie. Ne peux-tu pas expliciter un peu se vie à l'Académie? Ses relations avec ses amis, ses profs, son intégration, etc. Si son frère est aussi à Beauxbâtons, est-elle proche de lui ou chacun vit-il de son côté?


    Enfin, dernière petite remarque, je te rapelle que tu ne peux pas affirmer catégoriquement une armoirie pour ton personnage. Il faudra donc enlever la mention de Lusignan que tu affirmes dans ta fiche. Il en va de même pour ton frère. Tu n'as qu'à préciser qu'ils se retrouvent dans des armoiries différentes.


    Vous à Beauxbâtons :



  • Votre baguette : Ok.

  • Votre année : Ok.

  • Votre armoirie : Ok.

  • Vos options : Ok.

  • Votre animal de compagnie : Bien sûr que ça existe. C'est même très mignon. Wink

  • Votre Patronus : Ok.

  • Votre position face aux hybrides : Ce ne serait pas plutôt "exister" au lieu de "exiger"? Si jamais un conflit ouvert se déclenchait, de quel côté se rangerait Perséphone? Celui du Ministère ou celui des Hybrides rebelles?


    Vous derrière l'écran :



  • Prénom ou pseudo : Ok.

  • Âge : Ok.

  • Avatar : Ok.

  • Expérience en RP : Très bon niveau pour si peu de pratique!

  • Comment avez-vous connu le forum? Ok.

  • Double-compte? : Ok.


Et bien c'est une fiche très intéressante. Ton personnage est vraiment très bien créé et sa personnalité est très bien définie. Corrige les quelques passages nébuleux au niveau de l'histoire et tout devrait passer d'ici un ou deux tours de modérations. Si tu as la moindre question, n'hésite pas.

Au plaisir de te lire!
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Perséphone de Siorac
Sixième année LusignanPerséphone de SioracSixième année Lusignan
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Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Vide
MessageSujet: Re: Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences   Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Icon_minitimeMer 16 Nov - 15:48

Ayé, j'ai modifié :3 !
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Mélusine
PNJ ModérationMélusinePNJ Modération
Messages : 163
Date d'inscription : 21/05/2010
Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Vide
MessageSujet: Re: Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences   Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Icon_minitimeJeu 17 Nov - 10:04

Et bien tout ceci me semble bien mieux. Tu es donc officiellement validée! cheers

Tu pourras commencer à rôler lorsque tu verras ton nom se colorer d'une jolie couleur argentée.

Au plaisir de te lire!
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Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Vide
MessageSujet: Re: Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences   Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences Icon_minitime

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Perséphone de Siorac, parce qu'il ne faut jamais se fier aux apparences

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